Les Peupliers du désert
Les terres fertiles de Gascogne et d’ailleurs, dont les maïs, les blés, les champs de tabac, les vergers de pêchers et de pommiers faisaient, il n’y a pas si longtemps encore, un manteau d’Arlequin, sont souvent condamnées aujourd’hui aux herbes folles et à la jachère, ou remplacées par des quadrilatères de peupliers uniformes qui étouffent le paysage.
Mais que peut faire un agriculteur parvenu à l’âge de la retraite et qui n’a personne pour prendre sa succession, sinon laisser ses terres en jachère ou les planter de peupliers ?
Ce livre raconte l’histoire d’André, paysan des coteaux de Gascogne, qui a continué à exploiter ses terres jusqu’au-delà de ses soixante-dix ans. Le dernier soir de ses vendanges, il revoit son enfance, sa jeunesse, la reprise en main de ses terres juste après la guerre de 39-45, puis la fatalité qui s’est abattue sur lui, comme sur l’ensemble du monde agricole de la deuxième moitié du XXe siècle.
Dans « Le Chemin des Cablacères » ou « Les Collines de la Canteloube », Alain Paraillous a déjà conquis de nombreux lecteurs en décrivant le crépuscule d’une paysannerie qui lui est chère. Nul doute que ce livre, qui s’intègre au cœur d’une réalité à laquelle nul ne peut rester insensible, saura aussi les toucher.
Les terres fertiles de Gascogne et d’ailleurs, dont les maïs, les blés, les champs de tabac, les vergers de pêchers et de pommiers faisaient, il n’y a pas si longtemps encore, un manteau d’Arlequin, sont souvent condamnées aujourd’hui aux herbes folles et à la jachère, ou remplacées par des quadrilatères de peupliers uniformes qui étouffent le paysage.
Mais que peut faire un agriculteur parvenu à l’âge de la retraite et qui n’a personne pour prendre sa succession, sinon laisser ses terres en jachère ou les planter de peupliers ?
Ce livre raconte l’histoire d’André, paysan des coteaux de Gascogne, qui a continué à exploiter ses terres jusqu’au-delà de ses soixante-dix ans. Le dernier soir de ses vendanges, il revoit son enfance, sa jeunesse, la reprise en main de ses terres juste après la guerre de 39-45, puis la fatalité qui s’est abattue sur lui, comme sur l’ensemble du monde agricole de la deuxième moitié du XXe siècle.
Dans « Le Chemin des Cablacères » ou « Les Collines de la Canteloube », Alain Paraillous a déjà conquis de nombreux lecteurs en décrivant le crépuscule d’une paysannerie qui lui est chère. Nul doute que ce livre, qui s’intègre au cœur d’une réalité à laquelle nul ne peut rester insensible, saura aussi les toucher.
18,30 €