Fine, paysanne de Provence
L’histoire de Joséphine, dite Fine, paysanne de Provence, se passe à Callian, Montauroux, Fayence, villages du haut Var, de 1918 à nos jours.
« Joséphine, qui enfonce ses racines si profondément dans cette terre qu’elle semble immortelle autant qu’un olivier, Joséphine à elle seule mémoire de tout un peuple, mémoire d’une vie âpre où le travail et les peines étaient si grands que bien peu de choses suffisaient pour s’appeler bonheur, Joséphine et son franc parler chantant qui compare les choses entre elles si drôlement, qu’à l’écouter, le sourire ne vous quitte plus, j’ai adoré entendre sa vie se dérouler devant moi. Sans peine, rien qu’en regardant les restanques et les murets de pierres, je pouvais voir, une Joséphine de dix ans, une musette grise dans le dos, galoper derrière son troupeau de chèvres… »
Annie Bruel, professeur d’I.U.F.M., aujourd’hui retraitée dans un hameau du haut Var, publie des romans qui rencontrent un vif succès. Elle met ici sa qualité d’écriture au service de la voix et de la mémoire d’une paysanne provençale.
Authentique et d’une grande fraîcheur, son récit, par son évidente beauté, rencontrera la faveur des lecteurs amoureux de la Provence et plus largement de ceux qui ont la nostalgie de cette France des campagnes dont bientôt il ne restera plus rien.
L’histoire de Joséphine, dite Fine, paysanne de Provence, se passe à Callian, Montauroux, Fayence, villages du haut Var, de 1918 à nos jours.
« Joséphine, qui enfonce ses racines si profondément dans cette terre qu’elle semble immortelle autant qu’un olivier, Joséphine à elle seule mémoire de tout un peuple, mémoire d’une vie âpre où le travail et les peines étaient si grands que bien peu de choses suffisaient pour s’appeler bonheur, Joséphine et son franc parler chantant qui compare les choses entre elles si drôlement, qu’à l’écouter, le sourire ne vous quitte plus, j’ai adoré entendre sa vie se dérouler devant moi. Sans peine, rien qu’en regardant les restanques et les murets de pierres, je pouvais voir, une Joséphine de dix ans, une musette grise dans le dos, galoper derrière son troupeau de chèvres… »
Annie Bruel, professeur d’I.U.F.M., aujourd’hui retraitée dans un hameau du haut Var, publie des romans qui rencontrent un vif succès. Elle met ici sa qualité d’écriture au service de la voix et de la mémoire d’une paysanne provençale.
Authentique et d’une grande fraîcheur, son récit, par son évidente beauté, rencontrera la faveur des lecteurs amoureux de la Provence et plus largement de ceux qui ont la nostalgie de cette France des campagnes dont bientôt il ne restera plus rien.
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